Voici un OS sur Jin et Kame. Bien que je hais Jin et Kame. Mais la chanson "Sadistic Love" m'inspire énormément. je dois pas être très nette dans mon cerveau moi...
Sadistic Love
J'en étais sûr. Je savais que c'était ce choix que tu allais faire. Le choix dit de facilité en fait. Ce n'est pas digne de toi, mais au fond… En fait non, je ne sais pas. Ce n'était pas une mince affaire de te comprendre.
Là, je parle de toi comme si tu es mort, mais en fait, pas du tout. Tu es bien vivant, là devant moi. Et même si j'ai envie de te frapper, aussi violemment que je le puisse, je ne fait pas un geste. je me contente simplement de te regarder.
- Cela a été une décision difficile à prendre. mais c'est cette voie que j'ai choisie. J'aimerais poursuivre ma carrière, mais en solo. Ne vous en faîtes pas, le groupe n'est pas en cause. Veuillez accepter cette décision et, s'il vous plait, continuez de me soutenir.
Je rigole intérieurement. Les gens présents pensent maintenant savoir la cause de ton départ, mais ils se trompent. Je le sais, je le vois. Je te connais, n'oublies pas. Et ton sourire en dit long sur la vraie raison. Enfin, je n'aurais même pas besoin de te regarder, parce que je sais que c'est à cause de moi que tu pars. Ou de nous, comme tu veux. Parce que je t'aime. Et que tu m'aimes. Ne le nies pas.
La conférence de presse prends fin et nous nous retrouvons seuls, peut-être pour la dernière fois, mais je n'en suis pas très sûr, dans une salle bien isolée. Tu l'as fait exprès, je te connais…
C'est ma voix qui brise le silence en premier. D'ailleurs, je suis assez étonné que cette voix, qui s'échappe de mes lèvres, soit drôlement neutre.
- Alors, tu es content ?
Tu éclates de rire, et t'approches lentement de moi.
- Assez. Les visages étaient assez expressifs. J'ai trouvé ça relativement drôle. Mais toi par contre, je ne pense pas que tu sois aussi surpris !
- Non, effectivement. Je le savais au fond.
Tes mains touchèrent mes épaules, m'attirant vers toi.
- Je t'aime Kazuya. Et ça tu le sais par contre. Et que tu sais aussi que continuer ainsi, c'est du sadisme.
- Je sais. Mais Jin, sache le bien. Tu peux être où tu veux, avec n'importe qui, quoique tu veuille, tu m'appartiens.
Tu me souries, avant de m'embrasser.
Ne croyez surtout pas que c'est la fin. Au contraire, ce n'est que le début d'un jeu.